Évaluer les besoins alimentaires du troupeau en fonction de sa composition (bovins laitiers, bovins boucheries, caprins, etc.) et de son état physiologique (vaches gestantes, allaitantes, etc.).

Réaliser un inventaire précis des stocks de fourrage disponibles (balles rondes, ensilage, etc.).

Ajuster les achats d'aliments en fonction des besoins réels et des stocks disponibles.

Gérer les stocks de matières sèches pour éviter les pertes.

Allonger la période de pâturage en utilisant des techniques comme la rotation des paddocks.

Récolter des résidus de cultures (maïs, céréales, etc.).

Utiliser des fourrages alternatifs comme la paille ou les drèches de brasserie.

Sévrer les jeunes animaux si nécessaire pour réduire leurs besoins alimentaires.

Réformer les animaux non productifs ou en mauvais état de chair.

Ajuster le plan de reproduction en fonction des ressources disponibles.

Mettre en place un système de suivi des stocks de fourrage et des besoins du troupeau.

Développer des cultures fourragères adaptées au climat et aux sols de la région.

Diversifier les sources d'approvisionnement en fourrage.

Assurer les stocks de fourrage contre les aléas climatiques.

Collaborer avec des agronomes et des nutritionnistes pour élaborer un plan de gestion fourragère à long terme.

Anticiper les changements climatiques et leurs impacts sur la production fourragère.

Mettre en place des pratiques agricoles durables pour préserver les sols et la qualité des fourrages.